À l’occasion de sa chronique vendredi matin au micro de Patrick Lagacé, écoutez Luc Ferrandez aborder l’audit financier de Raymond Chabot Grant Thornton qui suggère des économies potentielles de 350 millions de dollars par an en matière de transport en commun.
«Ça a été dit un milliard de fois. Là, la ministre va prendre le papier... ça va faire du bruit de papier et elle va dire: "On a un rapport qui me dit que je ne suis pas obligé, cette année, comme les années précédentes, de vous donner 300 millions de dollars pour combler les déficits d’exploitation". [...] Ça, c’est le gouvernement qui vient de signer à 18,7 % avec ses propres employés, avec 6% la première année!»
Ils évoquent ainsi les salaires élevés, les conditions données par les gouvernements et les défis liés aux conventions collectives, de même que l’absentéisme dans le secteur public.
«Pourquoi les salaires sont gros comme ça? Parce que les gens ne veulent pas travailler le soir et la fin de semaine. Ce n’est pas dur à comprendre ça.»
Les deux hommes commentent aussi en ouverture la chronique de Mathieu Bock-Côté sur le code vestimentaire des Québécois, alors que l’animateur ne se gêne pas pour dire que son chroniqueur s’est permis un certain relâchement en ce vendredi matin.