Les pharmaciens sont prêts à élargir leurs activités cliniques en pharmacie, comme le stipule le projet de loi 67 qui a été adopté la semaine dernière, mais ils veulent plus d'argent.
Écoutez Benoit Morin, pharmacien et président de l’Association québécoise des pharmaciens propriétaires, faire le point.
«Notre cour aussi elle est pleine. Dans le sens qu'on a des enjeux de rareté de main-d'œuvre et d'inflation. Et là, on souhaite en faire plus, on souhaite faire plus d'activités cliniques. Mais ça demande des ressources, ça demande du temps, ça demande de l'énergie, ça demande du financement. Et ce qu'on dit, c'est qu'il faut subventionner à la hauteur des attentes, sinon on n'y arrivera tout simplement pas là.»