Des géants de la restauration rapide craignent que l’Ozempic puisse faire baisser leur marge de profits.
Richard Dufour écrit dans un texte de La Presse que le franchiseur montréalais MTY – derrière Mikes, Scores, Bâton Rouge, Thaï Express, Valentine et de nombreuses autres enseignes – a vu son action toucher cette semaine son niveau le plus bas depuis un an à la Bourse de Toronto.
Sylvain Charlebois, directeur scientifique du Laboratoire de sciences analytiques en agroalimentaire à l’Université Dalhousie à Halifax, traite aussi du sujet de l'Ozempic dans un autre article du quotidien.
Il faut mentionner qu’un tiers des Canadiens lutteraient contre des problèmes liés au surpoids.
Tellement que ça fait trembler les colonnes du temple agroalimentaire.
«Une banque britannique a même dit que le médicament Ozempic est un risque pour les entreprises du secteur de la restauration rapide. Elle dit de faire attention et d’anticiper bien les effets à long terme. Je remets tout ça un peu en question.»
Écoutez l'intégralité de ses propos au micro de Luc Ferrandez.