Aide médicale à mourir: le gouvernement Legault a annoncé un délai de 24 mois qui n'était pas prévu. Ainsi, les Québécois devront attendre encore un bon moment pour pouvoir formuler une demande anticipée.
En effet, les autorités gouvernementales se donnent deux ans pour permettre les demandes anticipées d’aide médicale à mourir, qui seront autorisées dans le cadre de la nouvelle loi québécoise.
Ces demandes anticipées concernent notamment les personnes atteintes d’une maladie grave, comme l’Alzheimer.
À l'émission Puisqu'il faut se lever, jeudi, écoutez le chroniqueur politique du 98.5, Jonathan Trudeau, qui commente la décision du gouvernement du Québec.
«On parle de milliers de Québécois, de gens qui vivent dans l’angoisse totale. Ce sont des personnes qui se sentent condamnées en quelque sorte. Elles sont ignorées par la loi. Elles ne peuvent pas savoir si elles ont le moindre contrôle sur leur destinée. Ces gens avaient de l’espoir, car il y a eu du bon travail de fait par les politiciens sur le dossier de l’aide médicale à mourir. […] Finalement, les travaux ont été suspendus et un délai de 24 mois a été imposé. Il y a une odeur d’improvisation dans ce dossier très sensible.»
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